Mois de Mars 2022: Comment une femme égorgée, violée, violentée et en perpétuelle errance peut-elle célébrer ou méditer sur la journée Internationale de la femme ? (Question des indignés aux autorités nationales et internationales)

La femme vivant dans les zones en conflit ne peut rien célébrer ce mois de mars 2022 car elle continue à subir les atrocités dues à cette insécurité permanente lui imposée. Comme vous le savez, elle continue à être égorgée, violée et violenté innocemment sans qu’elle ne sache le péché qu’elle a commis pour vivre dans un tel calvaire.

Voilà pourquoi le Mouvement des indignés continue d’alerter le monde pour qu’une attention particulière soit braquée vers ces femmes vivants dans des zones en conflits pour qu’ensemble nous voyons comment lui venir en secours. Premièrement, en exigeant la restauration de la paix, fondement même de tout développement.

Aussi, les indignés continuent à sensibiliser les autres femmes en vue de reflecréfléchir sur les mécanismes d’autonomisation financière à mettre en place pour venir en aide à ces mères de familles, à ces jeunes filles et fillettes dont l’avenir est brisé.

Ce mois sera pour nous une occasion de terrain pour discuter ensemble avec ces femmes pour mettre en place toutes sortes des stratégies concourant à mettre à l’abri et à consoler ces êtres, qui souvent sont utilisés abusivement comme butins de guerre. L’on doit mettre fin aux viols et violences faites à la femme et à la jeune fille pour espérer développer ce pays, martèle la Coordonnatrice Nationale du Mouvement des Indignés de la situation sécuritaire en RDC , Nicole Kavira .

Toutes nos pensées vers ces femmes de Beni, Ituri, Fizi, mwenga, Itombwe, Rutshuru…et de partout où les femmes et les jeunes filles continuent à être victimes de l’insécurité.

L’indigné